Le temps s'arrete, le combat commence

-Ce que tu es pressé...
L'ange regarda Nadis pendant un bout de temps puis rangea son épée.
-En fait tu ne l'a réussi qu'a moitier... Le vrai test était que tu devait résister à la tentation de vouloir recourir à la violence pour entrer dans la montagne car tout vien à point à celui qui sait attendre. Mais j'ai jeter un sort à ton épée pour qu'elle exprime toute la colère que tu possède à l'interieur de toi et à ce que je peux voir tu es un être très tourmenter qui s'en veux à sois-même...
L'ange ce fronta le menton en signe de réflexion.
-D'Accord tu peux entrer mais je t'ai à l'oeil, n'oublie pas qu'il ne faut pas que ta colère et ton envi de combatre te guide car cela pourrait causer ta perte, et je ne veux que ton bien.

Sur ce l'ange disparut. La salle ne changea pas de forme laissant croira à NAdis qu'il ne pouvait plus sortir mais peu à peu elle se transforma pourdevenir la salle principale de la montagne.

il eu une expression réconfortante puis dit:

-merci...

Limsam aparu dans la salle par les deux porte. Il fut projeter si fort qu'il cru volé dans les airs dans des heures. Mais il ne frappait jamais aucun murs, la salle était, ou bien semblait, infini. Il toucha le sol avec douleur et son sang s'écoula sur le sol blanc de la pièce. Il disparu aussitôt pour créé une vive lumière. La blessure de Limsam se mit à le brûler plus que jamais. Sous la douleur il tomba dans l'inconscience.

En se reveillant tout son corps se raidit et la douleur le reprit. Il croyait mourir mais il ne mourrait pas. La salle le rejetait, lui et ses énergies maléfique. Il ne pourrait pas tenir bien longtemps.

Limsam se trouvait maintenant sur le dos et cela lui avait demandé un effort surhumain pour se retrouver dans cette position. Chaque respiration lui demandait une énorme partie de vie. Ses poumons étaient rempli d'éguilles qui s'amusaient à danser sur un rytme endiablé. Il se sentait comme une marionnette dans la main d'un dieu des soufrances. Il sentait son corps paralysé mais semblait avoir perdu toute douleurs dans sa blessure au ventre, ou bien était-ce le mal que son être subissait qui engourdissait ses souffrances dans cette région.

Il sentit sa vie le perdre et que aucun des pouvoir qu'il n'avait ne pourrait le sauver dans cette endroit du bien, infernal. L'hypnotisme et le contrôle du temps ne lui était d'aucun secour. Ses forces ne le quittaient pas mais il sentait sa tête tourner plus que jamais et sa seule aptitude à la concentration lui permi de resté conscient.

Limsam fixait le blanc infini du haut de la pièce. Son regard droit et concentré cherchait une faille. Sa peau lui brulait telement qu'il ne ressentait presque plus aucune douleur. Bientôt sa chair allait s'éfriter et il ne resterait plus qu'un vieux paquet d'os de se qu'il était. Il ne reverrait plus jamais son fil, Paledro. Si droit et vaillant, comme lui d'une graine de champion d'estiné au meilleur. Mais il faisait la gaffe de sa vie de s'embaquer ainsi du côté des plus faible. Faible qui avait réussit toute fois à l'exiler, lui, dans cette endroit maudit. Si il mourrait s'en était finit de la guerre. Veran avait déjà perdu.
*Sans moi il n'aura que 2 élus à ses côtés*
Enfin c'est ce qu'il penssait mias en réalité Veran pouvait le remplacer n'importe quand. Qu'en était-il de son pouvoir sur le temps. Derait-il perdu à jamais dans cette pièce?

Cela devait faire plus de 24 heures qu'il était dans cette pièce. En faite, il n'était certain de rien, car aucun objet ne se trouvait dans la salle, mais depuis près de 20 heures qu'il comptait chaques secondes pour évité de penser à la douleur. Tout ses vêtement étaient parti en fumé depuis un bon moment et c'était maintenant sa peau qui s'amusait à le quitter.
Le roi cria de toutes ses forces mais aussitôt que sa bouche fut ouverte, les flammes inscrustèrent ses poumons.

Le roi n'était maintenant plus entier. Ses cheveux n'étaient plus que poussière et sa peau étant totalement évaporé, une étrange brume noir entourait désormait ses os. Ses long cheveux d'ébène ne ressemblaient plus qu'a un amas de gaz sombre et instable au dessus de sa tête. Le têtu alpha tentait bien que mal de gardé ne serais-ce qu'un regard sur la blancheur qui l'entourait. Cela faisait bien 20 minutes qu'il ne respirait plus et étrangement il restait en vie. Comme si sa vie s'était arrêté mais que son cerveau continuait de tout annalyser et de compter continuellement chaque secondes qui défilait.